- Plusieurs membres de la BCE ont réitéré la volonté et le besoin de prolonger les hausses de taux pour contenir l’inflation.
- En Chine, la publication du PIB pour le 1er trimestre a surpris à la hausse avec une croissance en rythme annuel de 4.5% contre 4% attendu et une révision à la hausse du 4ème trimestre 2022.
- Nous maintenons une certaine prudence sur les actifs risqués dans nos allocations. Sur les obligations, nous préférons les obligations d’entreprise en privilégiant le court terme et profitons de la hausse des taux gouvernementaux pour renforcer progressivement la duration.
Les marchés actions ont évolué dans une marge de fluctuation assez serrée au cours de la semaine. Les variations ont été plus importantes sur les taux gouvernementaux. L’indice ISM Manufacturier de la Fed de New York a rebondi de façon surprenante au mois d’avril et revient en territoire positif après avoir été négatif pendant 4 mois. Ce rebond est porté principalement par les nouvelles commandes. Cette bonne statistique couplée à une inflation qui reste persistante et un éloignement du risque systémique a remis les anticipations de hausses de taux sur le devant de la scène. Les taux d’emprunt d’État ont ainsi retrouvé le chemin de la hausse. Cependant, les inscriptions au chômage plus élevées qu’attendu ont ralenti ce mouvement. Côté européen, plusieurs membres de la BCE ont réitéré la volonté et le besoin de prolonger les hausses de taux pour contenir l’inflation. Les indices PMI publiés vendredi matin montrent toujours un ralentissement de l’indice manufacturier mais une hausse assez forte des indices des services soutenant l’économie.
La semaine marque aussi le lancement de la saison de publications des résultats du 1er trimestre 2023. Les attentes sont assez faibles en terme de croissance sur un an et les premières publications sont positives. En Europe, le secteur du luxe confirme la reprise des ventes liées à la Chine et aux États-Unis, les grandes banques ont rassuré et ont globalement largement battu les consensus.
En Chine, la publication du PIB pour le 1er trimestre a surpris à la hausse avec une croissance en rythme annuel de 4.5% contre 4% attendu et une révision à la hausse du 4ème trimestre 2022. Le rebond suite à l’arrêt de la politique zéro-Covid se confirme donc, porté principalement par la consommation domestique. En effet, les ventes au détail ont nettement accéléré au mois de mars à +10.6% sur un an (vs. 7.5% attendu). En revanche, cela ne se reflète pas dans les performances des actions chinoises. Nous conservons une vue positive sur celles-ci, en privilégiant les valeurs domestiques qui devraient profiter de l’amélioration de l’environnement économique et moins pâtir de l’environnement géopolitique.
De manière globale, nous maintenons une certaine prudence sur les actifs risqués dans nos allocations après la hausse du début d’année. Sur les obligations, nous préférons les obligations d’entreprise en privilégiant le court terme et nous profitons de la hausse des taux gouvernementaux pour renforcer progressivement la duration.
Actions Européennes
Le marché des actions européennes clôture la semaine sans direction claire. Les secteurs des services aux collectivités, banque et tourisme, ont tiré l’indice vers le haut tandis que les équipementiers, la technologie et les ressources de base l’ont davantage pénalisé. Au niveau de la politique monétaire, le chef économiste de la BCE a tenu à rappeler la nécessité de relever plus encore les taux directeurs afin de ramener l’inflation à sa cible, à savoir 2%. La publication des Minutes de la dernière réunion de la BCE a éclairé sa décision de relèvement des taux directeurs. Outre-Manche, l’inflation du mois de mars n’a pas montré les signes de ralentissement espérés, en particulier la partie sous-jacente, poussant désormais les anticipation pour un taux terminal des taux directeurs britanniques à près de 5%.
La saison des résultats bat désormais son plein et des messages rassurants dans le luxe le confirme. Après LVMH et Hermès la semaine précédente, Porsche a rassuré le marché sur la dynamique de ses ventes en Chine. Le constructeur automobile y a enregistré une hausse record de ses ventes lors du 1er trimestre. Le Français L’Oréal de son côté a été tiré par l’activité aux USA et en Europe et affiche une croissance des ventes à 13%. Un message encourageant également pour le trafic aérien : la compagnie EasyJet a relevé ses anticipations de bénéfices pour 2023 après avoir constaté de forts niveaux de réservations. Pour le géant des semi-conducteurs ASML, le discours a été plus prudent, malgré d’excellents résultats au 1er trimestre. L’entreprise note des signes de prudence de ses clients, accompagnés d’une baisse des commandes. Même tonalité chez Michelin qui a publié des statistiques de ventes mondiales de pneumatiques en recul d’1% en mars et de 2.1% depuis le début de l’année.
Actions Américaines
Les indices américains clôturent les 5 dernières séances dans le rouge à -0.40% pour le S&P 500 et -0.88% pour le Nasdaq. Les marchés ont souffert jeudi de la publication de chiffres macro-économiques décevants : un net recul de l’indicateur d’activité de la Fed de Philadelphie (au plus bas depuis mai 2020 à -31.3) et un recul de 2.4% des ventes de logements anciens. Pourtant, en début de semaine, l’indice d’activité dans la région de New York (Empire Manufacturing) montrait une nette inflexion à la hausse.
Les présidents d’antennes régionales de la Fed montrent un ton toujours restrictif : Raphael Bostic, le responsable de la Fed d’Atlanta, s’est notamment prononcé en faveur d’un maintien des taux directeurs au-dessus des 5% pendant un certain temps afin de faire fléchir l’inflation. Son homologue de la Fed de St Louis, James Bullard, s’est prononcé en faveur d’une fourchette cible de 5.5-5.75%, au-dessus du consensus.
La publication de résultats d’entreprises décevants a également pesé sur le sentiment, à l’image de Tesla (-9.7%) et d’AT&T (-10.4%).
Tesla baisse les prix de ses véhicules d’environ 5% pour compenser la hausse des taux subie par les consommateurs. Le constructeur a indiqué qu’il allait continuer de baisser les prix afin de stimuler la demande.
Netflix reculait suite à une croissance du nombre d’abonnés inférieure aux attentes (1.75M contre 2.2M attendu) compensée en partie par un relèvement des prévisions au 2nd semestre grâce à la fin du partage des codes d’accès.
Alphabet reculait de 3% suite à un article du New York Times indiquant que Samsung envisagerait de remplacer le moteur de recherche de Google par celui de Microsoft sur ses smartphones.
IBM progressait de 2% en après-marché suite à une publication de résultats en ligne avec les attentes et une réitération de ses prévisions pour l’année : croissance des ventes de 3 à 5%, objectif de FCF de 10.5 milliards de dollars.
Actions Japonaises
Le Nikkei 225 et le TOPIX se sont inscrits en hausse de 1.78% et 1.58% sur la période. Les places boursières japonaises ont continué d’afficher une tendance haussière du fait de la faiblesse de l’indice des prix à la production aux États-Unis en mars, des chiffres meilleurs que prévu de l’Empire State Manufacturing Survey en avril et de la dépréciation du yen.
Les secteurs des valeurs bancaires, de l’assurance ainsi que des contrats à terme sur titres et sur matières premières ont progressé de 5.03%, 3.49% et 3.09% respectivement, sur fond d’atténuation des craintes liées à la crise financière et de relèvement des taux d’intérêt américains. Les banques Sumitomo Mitsui Trust et Resona ont gagné 6.04% et 5.40% respectivement, pour les raisons évoquées plus haut.
En revanche, les secteurs de l’industrie minière et des produits métalliques ont chuté de 1.37% et de 0.19%, en raison de la baisse des prix des matières premières induite par les craintes à l’égard d’un éventuel ralentissement de l’économie mondiale. Le secteur du transport maritime a reculé de 0.42%, pénalisé par les prises de bénéfices des investisseurs suite à la forte hausse des cours boursiers du fait du niveau attractif des valorisations et du taux élevé de distribution de dividendes.
Fast Retailing, la maison-mère de la société de prêt-à-porter Uniqlo, a grimpé de 7.53% à la faveur de la révision à la hausse de ses prévisions de résultat d'exploitation pour 2023. La solidité de ses ventes au détail en Chine en mars (+10.6% sur un an) a également dopé le cours de son action.
Tokyo Electron, un fabricant d’équipements de production de semi-conducteurs, et Shimano, un fabricant de pièces pour vélos, ont cédé 1.91% et 1.81% respectivement, sur fond de vente généralisée des actions « Growth » dans le sillage de la hausse des taux d’intérêt aux États-Unis.
Sur le marché des changes, la paire USD/JPY s’est appréciée, passant de près de 133 yens pour un dollar à un peu plus de 134 yens, à la faveur de l’atténuation de l’aversion au risque et des chiffres meilleurs que prévu de l’Empire State Manufacturing Survey en avril.
Selon les données publiées par l’Office national du tourisme japonais, 1.82 million de touristes étrangers ont visité le Japon pour les affaires et les loisirs en mars, contre 1.48 million en février. Le nombre de touristes chinois a plus que doublé en mars par rapport au mois de février, pour atteindre 75 700 visiteurs.
Marchés Emergents
L’indice MSCI EM s’est replié de 1.05% au cours de la semaine (cours de jeudi à la clôture), plombé notamment par le Brésil et la Chine qui ont affiché une performance totale de -3.4% et -2% respectivement. Le Chili et Taïwan ont également reculé de 1.16% et 1.83%, tandis que l’Inde et le Mexique sont restés relativement stables à -0.56% et -0.05%.
En Chine, la croissance du PIB s’est accélérée à 4.5% sur un an au 1er trimestre 2023, chiffre largement supérieur aux prévisions du marché, dépassant ainsi les 2.9% enregistrés au 4ème trimestre 2022. La reprise au 1er trimestre 2023 est essentiellement due à la hausse de 10.6% sur un an des ventes au détail. La production industrielle (+3.9%) sur un an et les investissements en immobilisations (+5.1%) sur un an se sont inscrits en deçà des attentes élevées. Le taux de chômage dans les zones urbaines s’est légèrement amélioré, passant de 5.6% en février à 5.3% en mars. Sur 70 grandes villes chinoises, 64 ont fait état d’une augmentation des prix des logements neufs sur un mois en mars.
Côté réglementation, l’Administration nationale de la presse et de l’édition a annoncé pour la quatrième fois en 2023 qu’elle accordait une licence à 86 jeux vidéo chinois.
Les tensions géopolitiques sont revenues sur le devant de la scène, alors que le président américain Joe Biden envisagerait d’obtenir l’aval du G7 en vue de freiner les investissements chinois dans les secteurs technologiques suite à la visite du président brésilien en Chine, ce dernier se montrant enclin à renforcer les liens avec Pékin.
Du côté des entreprises, New Oriental a publié des résultats de qualité et supérieurs aux attentes, témoignant ainsi de la solidité et de la durabilité de la croissance de son activité d’enseignement. Li Ning a également fait part d’une hausse d’environ 5% sur un an de ses ventes au détail au 1er trimestre 2023, niveau supérieur aux attentes des analystes. Les dirigeants de l’entreprise ont également paru plus optimistes à la faveur d’un redressement meilleur que prévu des ventes de vêtements de sport en avril.
En Inde, l’inflation des prix de gros a ralenti à 1.34% en mars. Les flux des plans d’investissement systémique ont continué d’augmenter et ont atteint un montant historique de 143 milliards de roupies (1.7 milliard de dollars américains). Les régimes de dette ont tiré parti des afflux de capitaux avant la mise en œuvre de la clause d’extinction sur l’imposition. Trois autres sociétés ont signé un protocole avec le ministère de l’Acier dans le cadre du programme d’incitation lié à la production pour l’acier de spécialité. Le montant cumulé des dépenses d’investissement s’élève à 6.4 milliards de dollars US. TCS a rendu compte de résultats légèrement inférieurs aux attentes, avec une croissance du chiffre d’affaires de 1.7% en glissement trimestriel et une marge de 24.5% (contre 25% attendu), en raison de difficultés macro-économiques, tandis que le carnet de commandes est resté solide à 10 milliards. Infosys a fait part de résultats inférieurs aux attentes en raison de ralentissements imprévus de certains projets. Ses dirigeants ont ainsi revu à la baisse leurs prévisions de croissance du chiffre d’affaires et de marge d’EBIT à 4-7% (vs. 5-8%) et 20-22% (vs. 21-23%).
À Taïwan, TSMC a publié des résultats du 1er trimestre 2023 supérieurs aux prévisions, à la faveur d’une hausse des marges grâce à une meilleure maîtrise des coûts. La direction a laissé son plan de dépenses d’investissement pour l’exercice inchangé, mais a revu à la baisse ses prévisions de chiffre d’affaires pour 2023, en raison du ralentissement de l’ajustement des stocks de semi-conducteurs au 1er semestre 2023, qui devrait se rééquilibrer à un niveau plus correct.
Au Brésil, le gouvernement a indiqué que le projet de cadre budgétaire pourrait être modifié en ce qui concerne son applicabilité, qui, dans le texte original, avait été retirée de la loi sur la responsabilité budgétaire.
Au Mexique, Banorte a fait part de bons résultats qui ont dépassé les attentes, avec une croissance à deux chiffres des prêts et une qualité des actifs stable. Vesta (immobilier) a également rendu compte de solides résultats.
Dettes D’entreprises
Crédit
Une semaine relativement calme sur le marché du crédit. Les primes de crédit sont restées stables sur le segment du High Yield et sur celui de l’Investment Grade avec des niveaux respectifs de 455 points de base sur les obligations cash et de 155 points de base et à 445 points de base pour les indices synthétiques. Le taux 5 ans allemand est inchangé à 2.5%.
Sans surprise, les performances illustrent ce calme. Le marché obligataire de l’Investment Grade réalise au cours de la semaine une faible performance de 0.11%. Quant au segment du High Yield, la performance est nulle au cours de la semaine. Depuis le début de l’année, les deux segments performent respectivement de +1.7% et +3.1%. A ce jour, le rendement actuariel des marchés obligataires de l’Investment Grade s’établit à 4.24% et 7.4% pour le marché obligataire du High Yield, ce qui reste de très bons points d’entrée en terme de portage.
Les émetteurs ont profité du calme sur le marché pour placer leur dette. Le marché primaire des obligations du High Yield a été actif avec plusieurs émissions dont : Monitchem pour un montant de 450 millions d’€ à 8.75% B- 2028, Allwyn Entertainment pour un montant de 500 millions d’€ BB- 2030 et Porsche pour un montant de 750 millions d’€ à 4.5% 2028. L’ensemble de ces transactions a été très largement sursouscrit, soulignant encore l’appétit des investisseurs pour l’obligataire à spread.
Sur le front de la dette financière, les niveaux de primes sur les CoCos Euro restent stables autour de 1050 points de base. Un niveau bien au-delà de leur moyenne historique, soulignant les valorisations attractives du secteur. A noter la publication trimestrielle de Bankinter qui une fois de plus a surpris positivement avec une augmentation des profits de 20%, une base de coût solidement gérée avec un ratio coût/revenu au plus bas à 38% et un ratio CET1 gagnant +0.20% à 12.2%.
Convertibles
Une semaine active sur le marché des obligations convertibles, grâce à la publication de résultats qui ont dopé l’activité sur le marché secondaire, et à un marché primaire dynamique.
En Europe, Heineken NV a enregistré de solides performances, notamment grâce à des résultats positifs en Europe au premier trimestre, alors même que l’inflation persiste sur de nombreux marchés clés. Jet2 sa également progressé après le relèvement des prévisions de l’entreprise à la suite de solides indicateurs clés de performance pour l’été. Une nouvelle opération a eu lieu en Europe avec Voestalpine, le sidérurgiste autrichien, qui a émis pour 250 millions d’euros d’obligations convertibles à échéance 5 ans, afin d’améliorer la structure de son bilan. La société versera un coupon de 2.75% sur cette émission, à comparer avec une obligation à échéance 2026 se négociant à 3.9%.
Aux États-Unis, l’action Las Vegas Sands a progressé, soutenue par le grand nombre de visiteurs à Macao, ce qui a également dopé les actions de Wynn Macau à Hong Kong.
En Corée, L&F, une société qui développe et fabrique des matériaux pour batteries, a émis une nouvelle obligation convertible à 3 ans pour un montant de 500 millions de dollars US, assortie d’un coupon de 2.5% et d’une prime de 30%, afin de financer ses besoins en fonds de roulement. Cette émission, la première de cette entreprise sur le marché, offre une exposition au secteur des véhicules électroniques.
Achevé de rédiger le 21 avril 2023
Glossaire
- Les titres « Investment Grade » désignent des titres obligataires émis par des entreprises dont le risque de défaut de paiement varie de très faible (remboursement presque certain) à modéré. Ils correspondent à une échelle de notation allant de AAA à BBB- (notation Standard&Poor’s).
- Les titres « High Yield » sont des obligations d’entreprises présentant un risque de défaut supérieur aux obligations Investment Grade (ou catégorie investissement) et offrant en contrepartie un coupon plus élevé.
- La dette senior bénéficie de garanties spécifiques. Son remboursement se fait prioritairement par rapport aux autres dettes, dites dettes subordonnées.
- La dette est dite subordonnée lorsque son remboursement dépend du remboursement initial des autres créanciers.
- Tier 2 / Tier 3 : segment de la dette subordonnée.
- La duration correspond à la durée de vie moyenne d’une obligation actualisée de tous les flux (intérêt et capital).
- Le spread désigne l’écart entre le taux de rentabilité actuariel d’une obligation et celui d’un emprunt sans risque de même maturité.
- Les valeurs dites «Value » sont considérées comme sous-évaluées.
- Markit publie l'indice Main iTraxx (125 principales valeurs européennes), le HiVol (30 valeurs à haute volatilité), et le Xover (CrossOver, 40 valeurs liquides et spéculatives), ainsi que des indices pour l'Asie et le Pacifique.
- EBITDA est l'acronyme de Earnings before Interest, Taxes, Depreciation, and Amortization (en français : résultat d'exploitation avant intérêts, impôts et amortissement).
- Il mesure donc la création de richesse avant toute charge calculée. Il trouve son équivalent français en l'EBE (Excédent brut d'exploitation).
- Le terme “Quantitative Easing” désigne un type de politique monétaire dit non conventionnel auquel peuvent avoir recours les banques centrales dans des circonstances économiques exceptionnelles.
- Un « stress test » est une techniques destinée à évaluer la résistance d'institutions financières.
- L'indice PMI, pour “Purchasing Manager's Index” (indice des directeurs des achats), est un indicateur permettant de connaître l'état économique d'un secteur.
- Coco (contingent convertible bonds) : format de dette subordonnée.
- Mortgage : une hypothèque est un instrument financier de garantie d'une dette.
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